Les grands Radicaux

	Maurice FAURE Azerat 1922 -
Homme politique Français, il est Secrétaire Général du Parti Radical de 1953 à 1955 puis Président de 1961 à 1965 puis de 1969 à 1971. A l’âge de 29 ans il est élu Député Radical du Lot en 1951 à 1983. Secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Gouvernement Guy MOLLET en 1956 il devient Secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Gouvernement Maurice BOURGES-MAUNOURY en 1957 puis Secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Gouvernement Félix GAILLARD la même année. Ministre de l’Intérieur du 14 au 17 mai 1958, il est Ministre des Institutions européennes du Gouvernement Pierre Pflimlin du 17 mai au 1er juin de la même année. Il est l'un des négociateurs et co-signataire du traité de Rome le 25 mars 1957. Il vote le 1er juin 1958 avec vingt trois autres radicaux, l'investiture du général de Gaulle. Il est Maire de Prayssac de 1953 à 1965 puis Maire de Cahors de 1965 à 1989. Président du Conseil général du Lot de 1971 à 1994 dont il fut le représentant du canton de Montcuq (Lot) pendant plus de trente ans il devient Député Européen de 1979 à 1981, Sénateur de 1983 à 1988 puis Membre du Conseil Constitutionnel de 1989 à 1998. Sous la présidence de François MITERRAND, il est Garde des Sceaux - Ministre de la Justice en 1981, Ministre d’Etat - Ministre de l’Equipement et du Logement en 1988 et Ministre d’Etat – Ministre de l’Equipement et du Logement la même année. En 2007, il est nommé Président du Comité d’Honneur du 50ème anniversaire du Traité de Rome. Maurice FAURE prend une part active, en juillet 1953, à la discussion du rapport portant sur la révision de la Constitution et propose un amendement tendant à ne prévoir qu’une seconde lecture et à maintenir le vote et à la majorité absolue à l’Assemblée si le vote du Conseil de la République a été acquis à la majorité absolue. Le 7 décembre 1951, avant de voter pour la Communauté européenne du charbon et de l’acier, Maurice FAURE expose les vues du Parti Radical sur ce sujet avec le ton et la rhétorique qui lui sont propres : détachement, objectivité, sens des nuances et vision des ensembles.

Maurice FAURE

Azerat 1922 -

Homme politique Français, il est Secrétaire Général du Parti Radical de 1953 à 1955 puis Président de 1961 à 1965 puis de 1969 à 1971.

A l’âge de 29 ans il est élu Député Radical du Lot en 1951 à 1983. Secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Gouvernement Guy MOLLET en 1956 il devient Secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Gouvernement Maurice BOURGES-MAUNOURY en 1957 puis Secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Gouvernement Félix GAILLARD la même année. Ministre de l’Intérieur du 14 au 17 mai 1958, il est Ministre des Institutions européennes du Gouvernement Pierre Pflimlin du 17 mai au 1er juin de la même année.

Il est l'un des négociateurs et co-signataire du traité de Rome le 25 mars 1957.

Il vote le 1er juin 1958 avec vingt trois autres radicaux, l'investiture du général de Gaulle.

Il est Maire de Prayssac de 1953 à 1965 puis Maire de Cahors de 1965 à 1989.

Président du Conseil général du Lot de 1971 à 1994 dont il fut le représentant du canton de Montcuq (Lot) pendant plus de trente ans il devient Député Européen de 1979 à 1981, Sénateur de 1983 à 1988 puis Membre du Conseil Constitutionnel de 1989 à 1998.

Sous la présidence de François MITERRAND, il est Garde des Sceaux - Ministre de la Justice en 1981, Ministre d’Etat - Ministre de l’Equipement et du Logement en 1988 et Ministre d’Etat – Ministre de l’Equipement et du Logement la même année.

En 2007, il est nommé Président du Comité d’Honneur du 50ème anniversaire du Traité de Rome.

Maurice FAURE prend une part active, en juillet 1953, à la discussion du rapport portant sur la révision de la Constitution et propose un amendement tendant à ne prévoir qu’une seconde lecture et à maintenir le vote et à la majorité absolue à l’Assemblée si le vote du Conseil de la République a été acquis à la majorité absolue.

Le 7 décembre 1951, avant de voter pour la Communauté européenne du charbon et de l’acier, Maurice FAURE expose les vues du Parti Radical sur ce sujet avec le ton et la rhétorique qui lui sont propres : détachement, objectivité, sens des nuances et vision des ensembles.